Soigner le cheval par les plantes | AJC Nature

Soigner par les plantes

Le cheval et les plantes : une relation ancestrale

Par le passé, les chevaux consommaient les plantes dont ils avaient besoin. Elles étaient mangées fraiches quand le cheval broutait. Les vastes étendues herbeuses permettaient au cheval de trouver ce dont il avait besoin.  Avec la domestication du cheval, ce fut au tour du palefrenier et du paysan de soigner son cheval avec ce qu’ils avaient sous la main, les plantes (le vétérinaire jouant alors encore un rôle mineur dans les soins courants). Avec l’avènement des firmes pharmaceutiques depuis quelques années, les cavaliers s’en remettent de plus en plus à eux pour soigner leurs chevaux, oubliant parfois les remèdes de grands-mères ou de « bonne femme » (« bonne femme » vient du latin « bona fama » qui signifie de « bonne renommé » (bien famé)).

La place croissante des médecines naturelles dans le soin équin

Toutefois, les médecines alternatives se développant pour l’humain, il est normal que l’utilisation des plantes revienne en force pour un usage chez les animaux et chez le cheval en particulier, tant en prévention que pour des traitements curatifs.

 

Il est une idée reçue qu’il faut une surface de 1 hectare pour 1 cheval. Cela est peut-être vrai au niveau purement alimentaire, mais pas pour sa santé. Je préfère en effet 100 chevaux sur 100 hectares car cela permettra à chaque sujet de trouver une biodiversité plus grande dans les plantes lors de ses déplacements dans la prairie.

Biodiversité et instinct : le cheval sait choisir ses plantes

Il faut savoir que si il en a la possibilité, le cheval choisit les plantes qu’il va manger. Chez AJC Nature, nous avons filmé plusieurs chevaux en train de brouter au même moment et en revisualisant le film, nous avons constaté qu’ils ne mangeaient pas les mêmes plantes. En faisant des recherches sur les plantes broutées, cela nous a donné des pistes de recherches quant à leurs besoins.

Il est intéressant aussi de constater que le cheval est toujours plus intéressé par les plantes « de saison ». Il se régale de Pissenlit au printemps, saison dépurative par excellence.

 

Mais si vous souhaitez donner des plantes médicinales à votre cheval, il faut rester prudent.  Les plantes ne s’administrent pas au hasard et il est toujours préférable de demander un avis à un spécialiste de la santé par les plantes ou à un vétérinaire phytothérapeute.

Utiliser les plantes médicinales avec prudence pour votre cheval

 

En effet, il faut bannir l’idée qu’une plante, « si ça ne fait pas de bien, ça ne fait pas de mal » et il convient de toujours appréhender l’animal dans son ensemble en tenant compte de son âge, ses antécédents, de son lieu de vie, de son alimentation, de son activité, … En ce sens, l’écoute et le conseil sont primordiaux.  

Les plantes médicinales : un atout naturel pour la santé équine 

Pures, naturelles, sans additifs, sans conservateur ni support (ni mélasse), les plantes médicinales de qualité sont des alliées de choix dans la santé et le bien-être du cheval. A vous d’en faire profiter le vôtre.

Il y a 1 produit.

Affichage 1-1 de 1 article(s)
Recherche par étapes

Gamme

Indication

Usage